Fondée en 1971, Perkins Cinders inc. est une entreprise familiale basée à Show Low, en Arizona, qui a grandi au cours des cinq dernières décennies pour répondre aux besoins de l’Arizona et des États du Sud-Ouest avoisinants.
« Perkins Cinders a été lancée dans les années 1970. Mon grand-père et mon père faisaient des fosses septiques et des petits travaux résidentiels », dit Dusty Perkins. « Mon père a commencé la partie "cinder" (scorie) de l’entreprise en 1982. Nous vendons des granulats. Nous effectuons le nivellement de masse, les services publics, le pavage, le concassage, le béton, à peu près tout. »
« Nous avons de bonnes personnes qui travaillent avec nous. Nous nous présentons quand nous disons que nous allons faire, nous faisons ce que nous disons que nous allons faire et sommes honnêtes, et nous faisons simplement du travail propre et net. »
Bien que l’entreprise ait grandi pour employer plus de 50 personnes, ce qui a commencé dans la famille est resté dans la famille pour Perkins Cinders, et c’est quelque chose qui est resté très important pour eux. « Ma sœur travaille dans le bureau. Ma tante est dans ce bureau depuis le premier jour. Tout a commencé dans notre salon et notre cuisine. Elle prenait les appels dans la cuisine. »
« Je suis très, très fier de notre provenance », explique Dusty. « J’ai vu mon grand-père et mon père commencer sans rien, travailler fort et être fiers de tout ce qu’ils font. Et je suis très fier de ce que nous faisons. Notre nom est sur le côté de la porte et il nous apporte beaucoup de fierté. »
Ayant vécu toute son enfance au centre de l’entreprise familiale, Dusty a une place spéciale dans son cœur pour l’équipement CASE. « Quand j’étais plus jeune, mon grand-père avait une chargeuse sur chenilles CASE et avait toujours des rétrocaveuses CASE. Et je me souviens d’avoir toujours été assis sur une rétrocaveuse ou une chargeuse sur chenilles CASE quand j’étais plus jeune. Certains de mes meilleurs souvenirs sont en fait de conduire une rétrocaveuse avec mon père ou mon grand-père. »
« Quand j’étais plus jeune, mon père me laissait dans la cour arrière et me disait de creuser des trous avec la vieille rétrocaveuse CASE à quatre leviers. Et c’est ainsi que j’ai appris à utiliser une rétrocaveuse – j’ai beaucoup de souvenirs avec CASE. »
La puissance et la finesse de la chargeuse compacte sur chenilles la plus grande et la plus robuste jamais construite
Perkins Cinders a récemment pris livraison de l’une des premières chargeuses compactes sur chenilles CASE TV620B sorties de la chaîne de production – la plus grande et la plus puissante chargeuse sur le marché aujourd’hui. La chargeuse compacte sur chenilles de 114 ch d’une capacité utile nominale de 6 200 lb offre la meilleure force d’arrachement, ainsi que le plus grand nombre de caractéristiques de série que n’importe quelle autre chargeuse compacte sur chenilles de CASE. Elle comprend des commandes électrohydrauliques réglables de série, un circuit hydraulique à grand débit, un système anti-tangage automatique, un système d’autonivelage unidirectionnel, un coupleur hydraulique, un ventilateur à inversion automatique et plus encore.
Joel Hensley est maître de chantier de projet pour Perkins Cinders et a passé les derniers mois à prendre les commandes de la nouvelle chargeuse compacte. Les commandes électrohydrauliques réglables de série permettent aux opérateurs de régler la réactivité totale de la machine sur une vitesse faible, modérée ou agressive; ou de régler indépendamment l’inclinaison, le levage et la vitesse d’entraînement, ainsi que le bras de la chargeuse et la commande d’entraînement pour répondre au mieux aux exigences du travail à effectuer.
« Elle offre beaucoup de vitesses variables et j’aime ça parce que je fais un travail de précision avec elle », explique Hensley. « J’aime le fait qu’elle soit lente – je n’aime pas quand la pelle tressaute – je veux faire des mouvements fluides et constants. »
La série B de CASE est dotée d’une des cabines de chargeuse compacte sur chenilles les plus larges de l’industrie, offrant plus d’espace pour un confort accru de l’opérateur. Les leviers électrohydrauliques ont été conçus avec une prise plus étroite et plus confortable, un commutateur plus près et une tête plus petite pour faciliter l’utilisation. « Je pourrais l’utiliser pendant 10 heures sans problème. Elle me rapproche des leviers de commande et je suis assis là où je dois être. »
La TV620B de CASE est le chef de file de l’industrie dans les principales catégories opérationnelles, notamment la capacité de fonctionnement nominale (6 200 lb), la force d’arrachage (godet de 12 084 lb, levage de 12 907 lb) et la longueur de chenilles sur le sol (74 po). Un nouveau train de roulement robuste et des chenilles en caoutchouc de 17,7 po robustes permettent une perturbation minimale du sol (6,1 lb/po²) et une performance accrue sur des surfaces améliorées. Tout cela se traduit par une puissance supérieure de la machine et des performances au sol supérieures.
Ce qui a marqué Hensley, c’est que même si cette machine a l’air énorme et sauvage comme une bête, elle peut accomplir les tâches les plus exigeantes autant que le travail de finesse, et elle excelle peut-être même dans ce travail de précision en raison de la longueur totale de la machine et de la longueur et de la profondeur du godet de 1,25 verge.
« Nous déplaçons des piles de granulat, tout comme des souches, des roches, tout ce qui doit être déplacé – nous n’avons rien trouvé qu’elle ne pouvait pas déplacer », dit Hensley. « Je peux passer à travers une pile de granulat super 16 comme si ce n’était rien. Je peux la répartir et je peux la terminer avec une uniformité qui va dans les trois centièmes. Je peux aussi charger ce même super 16 avec cette machine. »
« Le poids de la machine me permet de déplacer le matériau, de charger des camions, d’en retirer le matériau, et la longueur du godet me permet de voir le bord tranchant et de l’utiliser. Je peux terminer dès que le matériau est mis en une bande, je peux transporter ce matériau partout au chantier parce que je peux voir le bord tranchant. »
D’autres améliorations apportées à la conception et à la technologie des machines sur le modèle TV620B comprennent également le nouveau module SiteConnect de CASE. Le module SiteConnect offre des performances de télématique plus robustes, des diagnostics à distance et des mises à jour logicielles à distance qui simplifient les activités de gestion de la flotte. Cette connectivité améliorée permet au propriétaire de la machine de partager des informations en temps réel sur la machine avec le concessionnaire et le centre Uptime de CASE à Racine, dans le Wisconsin. CASE atteint les nouvelles capacités de service à distance en partie grâce à la nouvelle application SiteManager Cette application jumelle le téléphone ou l’appareil de l’opérateur à la machine pour permettre l’analyse à distance. Les techniciens certifiés CASE diagnostiquent ensuite l’état de chaque machine connectée au moyen de divers relevés de paramètres et codes d’anomalie, et le technicien décide si le problème peut être réglé à distance ou s’il nécessite un déplacement jusqu’à la machine.
Pour une entreprise comme Perkins Cinders en pleine croissance, il est essentiel d’avoir un concessionnaire d’équipement de confiance. Dusty et son équipe travaillent avec Sonsray Machinery, l’un des plus importants concessionnaires autorisés d’équipement CASE en Amérique du Nord. « C’est très important », conclut Dusty. « Si cette machine ne fonctionne pas, on perd de l’argent. Et pouvoir appeler Sonsray est essentiel. Aaron (Armenta) réagit au quart de tour. Nous avons commandé des pièces, et il fait tout ce qu’il peut pour nous les faire parvenir rapidement. Et c’est tout ce qui compte. Si cette machine ne fonctionne pas, elle nous coûte de l’argent. »
« Être en mesure de continuer et d’accomplir le travail, c’est ce qu’il nous faut. Si le travail n’est pas fait, nous ne faisons pas d’argent », dit Perkins.
Et quant à l’avenir?
« Nous avons encore très faim. Nous grandissons tous les jours. Nous sommes encore très affamés et impatients de conquérir le monde, je suppose que l’on pourrait dire ça comme ça. »